[Parlons Ciné, La Mensuelle] épisode 2 – Ridley Scott (Partie 2)

Cette semaine dans Parlons Ciné, La Mensuelle, pas d’actus ciné de la semaine avec un point sur le box-office, ni de sorties de la semaine, car c’est un mensuelle et à l’occasion de la sortie le 13 novembre prochain de la suite du péplum culte sorti en 2000, Gladiator II, toujours réalisé par Ridley Scott, on vous propose une rétrospective pour un hors-série d’exception en trois parties où l’on revient sur la carrière de celui qui fut considéré comme le nouveau pape de la science-fiction au début des années 80, cinéaste britannique prodige primé à Cannes dès son premier long-métrage, Les Duellistes, avant d’enchaîner avec ces deux chefs-d’œuvre de la SF moderne que sont Alien : le huitième passager et Blade Runner, puis de commencer à diviser dès son quatrième long-métrage à la conception compliquée, le fantaisiste Legend, avant une petite traversée du désert déjà à la fin des années 80 où il tentera de se diversifier en allant vers le polar avec notamment Black Rain, puis de revenir vers le succès commercial et critique avec son pamphlet féministe Thelma & Louise et de finalement retomber dans l’échec commercial avec sa fresque historique ambitieuse et indépendante 1492 : Christophe Colomb, et de finir par fonder la boite de production Scott Free avec son frère Tony, pour deux premières productions de genre plutôt oubliables que sont Lame de fond et À armes égales, avant de revenir au premier plan en ressuscitant le genre mort du péplum avec Gladiator, énorme succès avec lequel il débute son deuxième âge d’or durant les années 2000, où il enchaine avec la suite du Silence des Agneaux, Hannibal, avant de s’essayer au film de guerre dans l’écurie de son frère Tony avec une production Jerry Bruckheimer, La Chute du faucon noir, qu’il lui vaut deux Oscars, avant de se diversifier davantage avec la comédie Les Associés et son Nicolas Cage toqué, avant un cas de nouveau fascinant dans sa filmo, sauvé par sa director’s cut, à savoir sa grande fresque historique sur les Croisades, Kingdom of Heaven, avant de retrouver Russel Crowe après Gladiator, pour quatre collaborations successives avec la comédie romantique Une grande année, le polar mafieux American Gangster, le thriller d’espionnage Mensonges d’État, et la grosse production compliquée de son Robin des Bois, avant le retour à la science-fiction avec Prometheus dont il sera question dans la troisième partie de notre rétrospective, car aujourd’hui, on se concentre sur la deuxième partie de sa carrière, à savoir la période des années 2000, faits à la fois de succès et d’échecs pour notre cinéaste britannique préférée. Bonne écoute et bonne séance là où nous parlons ciné !

Les commentaires sont clos.